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Réception des classes américaines à l'Elysée par le Président Miterrand, 1988

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2 octobre 2010 6 02 /10 /octobre /2010 11:51

La classe franco-américaine était ouverte à TOUS les ENFANTS de FRANCE !!

Même aux enfants privilégiés!!!

 

Extraits du livre " la classe franco-américaine" page 300

 

 Paris fut aussi dans ces cas-là où la réciprocité dans certains quartiers, était impossible. De même qu’Epinal : à lire la liste des enfants d’une classe, Samir, Ismail, Insaf, Mustapha, Adel, Mouez, Abdelkader, Ali, Fadh, Nezha, Mustapha, ces enfants n’auraient JAMAIS eu l’occasion de partir en Amérique. Grâce à la ténacité d’un maire comme Philippe Seguin, à la compréhension de l’inspecteur, au financement exceptionnel de la ville et notre ouverture d’esprit, ces enfants partirent tout comme les petits-fils des présidents de la République, d’actrices réputées, de chanteurs très connus, de grands sportifs, de journalistes, d’hommes d’Affaires ou enfants de ministres et de députés.

 

Quand en 1985, Gregory, le fils d’un ancien capitaine de l’équipe de France de football, devenu commentateur incontournable des matches à la télévision, reçu par James, partit à la « Heritage school » à Medina, Ohio avec sa classe de Noisy-le-Roi et qu’une autre classe de Noisy le Roi séjournait à South Huntington, Long Island, New York, des Fatima, Abdelnor de Champs sur Marne 77 partaient à Decatur, Illinois.

 

Lorsqu’en 1996, Guillaume, le petit fils d’un Président de la République, reçu par David, partait, avec l’Ecole d’Aujourd’Hui,( établissement privé du Boulevard Edgar Quinet à Paris), à San Geronimo, Californie et que Louis, fils d’une célèbre actrice de cinéma, la James Bond française, reçu par Tyler avec une classe de l’Ecole Active Bilingue ( elle aussi, école privée rue du Théatre, Paris 15e) séjournait  à Middlothian en Virginie, une classe d’Epinal avec ses Shehrazad, Mourad, Tayed, Fays, Nassira, Touria, Mohamed, Aicha, Azzedine, Abdelkader, Jamel, Souad, Latifa  était hébergée à la «  Mac Kinley school », Davenport, Iowa au bord du Mississipi.

 

Et que dire de la classe de Paris 13e arrondissement avec son lot d’enfants issus , selon la formule classique, de milieux défavorisés  et émigrées, reçue la même année, à la

«  E.P.Rock Elementary school » à Hudson, Wisconsin.

 

Et en 1995, Stefan-Brian, fils du Ministre des Finances de l’époque, est  hébergé par Jay et sa classe de l’Ecole Active Bilingue ( école privée), rue du Théatre, Paris 75015, reçue par la « Carl Sandburg school » de Wheaton, Illinois. L’autre classe de l’école EAB, du Théâtre est alors accueillie par la « Woolridge school » de Midlothian, Virginia, près de Washington D.C.  Dans ses rangs se trouve Louise, fille d’un haut dirigeant du MEDEF, reçue par Megan. En même temps, partait une classe de Boulogne de l’école Silly avec ses Majid, Maimouna, Brahim, Rida, Mir Siavosh, Ali, Nouale, Hocine, Doreya. Même près du Bois de Boulogne, il y avait des zones défavorisées ! Pourtant leur séjour à la «  Silver Beach school » à Bellingham, West Virginia leur apporta un lot de souvenirs inoubliables.

 

Comme pour les bons vins, il y a des années d’un cru exceptionnel !

L’année 1994 fut particulièrement bien fournie en «  fils de… » et «  fille de … » :

Raphael, fils d’un grand journaliste, qui, malgré des gants de boxe, perdit son combat. Cet enfant d’une école publique de Paris, fut reçu par Jason de la «  Wealthy school » à E. Grand Rapids, Michigan .
Camille, fille d’un Ministre de l’époque, accueillie par Alicia de la «  Evans school, » à Fond du lac, Wisconsin ainsi que sa classe de l’école EAB de Paris. Un de ses camarades de classe, fils d’un grand éditeur, reçu par Nathan.

Et Florent, fils d’un grand patron d’une chaine publique, hébergé par John de la «  Longwood school », à Naperville, Illinois ainsi que sa classe du groupe Fénelon à Paris.

 

Heureusement  que nous avions un équilibre parfait en faisant partir en Amérique en 1994, une classe de Paris 75019 avec son lot de Fatoumata ( il y en avait deux dans la classe), Lofti, Saidou, Binta, Ouisal,  Rachida, Mohamed, Mehdi, Vanja. Ils connurent une fabuleuse aventure, en dehors de leurs trente mètres carrés ou chambre d’hôtel à la «  Handley school » à Saginaw, Michigan.  Et celle des HLM de Melun, école Almont, avec ses Fatima, Kaira, Miora, Albano, Evissa, Aicha qui vécurent le «  rêve américain » à la « Hillcrest school » à Downers Grove, Illinois, banlieue chic de Chicago où toutes les familles vivaient dans des maisons comme on les voit à la télé !

Ou enfin une classe d’un «  quartier défavorisé » d’Epinal (école Champy) avec sa ribambelle de Adel, Mouez, Mustapha ( ils sont deux), Insaf, Ismael, Samir, Nadia, Abdelkader, Ali, Fahd, Nezha. Content quand même de voir au milieu d’eux une Aurélie !

 

Epinal, grâce à la compréhension de son Maire, Philippe Seguin, avait voté les fonds pour faire partir …. quatre classes de la ville :

Ecole Ravel/ Sechrist school, Flagstaff, Arizona

Ecole Gaston Rimey / Glenfield school, Montclair, New Jersey

Ecole Champy / Tanner school, Kaukauna, Wisconsin

Ecole Ambrail / Fern Persons, Olivet, Michigan

 

Une centaine de Maires comme celui d’Epinal aurait fait basculer et révolutionner l’enseignement du Français en Amérique !

 

Les classes franco-américaines acceptaient TOUS les enfants, de toutes les races, de tous les milieux (même priviligiés), de toutes les régions de France. A dix ans, ils ne font pas la différence et s’adaptent facilement à un autre monde. Tous ces gosses, quelle que fut leur origine, débarquaient comme des vedettes. Les familles américaines en recevant les questionnaires des petits Français, n’avaient aucune idée de qui étaient les parents. Le petit-fils du président de la République, portant un autre nom que son grand-père, avait été reçu par la famille comme s’il était né de Monsieur Toulemonde et de Mme Ordinaire ! Et le gosse d’un chanteur à la mode,  ne pouvait s’étendre sur la réputation de son père, totalement inconnu en Amérique !

 

Jean-Claude Lucchini ( Directeur de l’école du Fort Ste Catherine, Toulon 83  1985) le souligne :

« Il en ressort d’abord l’absence totale de ségrégation, qu’il s’agisse d’enfants, d’adultes ou de niveau social. 

Le souci : un bon fonctionnement et il fonctionne !»

 

Jean-Claude, de la situation de son école à Toulon, a toujours un mélange de niveaux sociaux : enfants d’émigrés dans les HLM qui dominaient la cour et d’enfants de parents, classe moyenne dans la zone pavillonnaire voisine.

 

Pourtant un point commun les liait, ces quatre classes : Aujourd’Hui, Ecole Active Bilingue, l’école Champy et  le groupe scolaire Kuss étaient toutes TO : elles voyageaient mais ne recevaient pas.

 

Pourquoi ?

 

Les parents des deux dernières manquaient de place et d’argent, les parents des deux premières manquaient de temps !

 

Voilà ce qu’étaient les classes franco-américaines : ouvertes à tous les gamins de 10 ans, riches ou pauvres, fils de célébrités ou enfants d’émigrés !

 

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 15:07


 

Pendant 25 ans, André Girod, l'auteur de " la classe franco-américaine" s'est occupé de classes primaires de CM2 qu'il faisait partir aux Etats-Unis dans le cadre des classes de découverte. Dans son livre sur cette vaste épopée pour des gamins de 10 ans qui partaient en Amérique, il a eu affaire aux Ecoles Actives Bilingues de Paris et autres écoles privées qui accueillaient beaucoup de fils de.. et filles de...

Il fait de surprenantes révélations et montre que ce n'est pas une sinécure et un grand bonheur d'être enfant de ... quand on a dix ans.

Pour donner des exemples, le fils de Michel Sardou, le fils de Carole Bouquet, le petit-fils de Giscard d'Estaing, le fils de Jean Michel Larqué, le fils de Paul Amar, le petit fils de Mitterand, la fille d'Hervé de Charette et bien d'autres parlementaires, ministres ou vedettes du show biz, des médias et du sport ont participé aux classes franco-américaines avec leur classe et sont partis aux Etats-Unis, accueillis par une école primaire américaine et hébergés par des parents.

André Girod les traitait comme les Fatouma, Karim ou Souad qui venaient des quartiers défavorisés et le placement de ces enfants de... se faisait dans les mêmes conditions que pour les enfants issus de familles émigrées. En effet parfois dans le même vol vers New York ou Sans Francisco ( classe touriste évidemment!), il y avait une classe d'un quartier défavorisé d'Epinal ou de Melun et une classe de l'école active bilingue, tous partant joyeusement vers l'Amérique. Ce fut le programme le plus égalitaire des années 80/90 dans les écoles primaires en France.

Mais lorsque les enfants de ... arrivaient aux Etats-unis dans les familles, ils n'étaient que des gosses comme les autres. Le fils Sardou essaya de dire qui était son père et les Américains le regardèrent étonnés: ils n'avaient jamais entendu d'un chanteur qui s'appelait Michel Sardou, totalement inconnu dans la ville où séjournait le gamin. Il est vite redescendu sur terre et a passé un séjour de trois semaines dans le plus strict incognito. Le fils de Giscard d'Estaing qui porte un autre nom est passé lui aussi totalement inconnu dans l'école. Incident amusant pour le fils de Carole Bouquet. Il portait un autre nom que celui de sa mère et sur son dossier la directrice avait mis un petit mot: " A placer dans une famille stable"

En effet la directrice voulait donner pendant trois semaines au gamin de Carole Bouquet l'expérience d'une famille avec un père, une mère qui restaient à la maison et des repas tranquilles le soir en famille. Pendant trois semaines, il connut une expérience que la célébrité de sa mère ne lui avait jamais donnée. Il fut ravi de son séjour car enfin il avait connu d'heureux moments à être comme un gosse de 10 ans en famille.

 

Tous ces exemples , retrouvés dans le livre " la classe franco-américaine" montrent que pour arriver ensuite à être " pistonnés dans la vie" ces gosses ont souvent connu une enfance bien triste et malheureuse, transbahutés entre nounous, parents séparés, disparition des parents en tournée, ou dissimulés de peur d'enlèvement. Ils avaient certes tout d'un point de vue matérielle, vacances en Floride, voiture de luxe, appartement qui n'avait rien à voir avec les 20 mètres carrés des déshérités, mais il leur manquait cette chaude affection que seuls peuvent prodiguer des parents qui s'occupent de leur progéniture. André Girod le ressentait en visitant les classes en Amérique et discrètement demandait à ces enfants comme se déroulait leur séjour. Sûrement pas une vie détendue de gamins qui peuvent jouer dehors sans soucis. En réalité dans une conclusion, André Girod les plaint car ils ne savent ce que devrait la normalité d'un enfant de 10 ans qui va à l'école sans être étroitement surveillés.

Pendant les trois semaines de la classe franco-américaine, il se sont éclatés, ont joué dans la cour avec les autres qui ignoraient tout de leur origine et ils ont pu voir ce qu'il manquait dans leur vie de gosse d'être les fils et filles de ....

Partager ces commentaires car ils sont exposés au grand public pour la première fois!!

 

Lire un extrait du livre " la classe franco-américaine": page 300

 


 

 

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 10:44

Quoi de commun

entre Davy Sardou et Omar  Zeghoudi ?

entre Louis Giacobetti et Tayed Derrouiche ?

entre Guillaume Fixot et Mohamed Boualim ?

entre Camille de Charrette et Rachida Ait Hamou ?

entre Gregory Larqué et Hoang Ramanathan ?

entre Adrien Flammarion et Lofti Douad ?

entre Raphael Amar et Samir Kerrouba ?

 

Portraits des célèbres grand-parents ou parents de nos " petits Français"

qui participèrent à la " classe franco-américaine"

giscard

Valery Giscard d'Estaing

Grand-père d'un de nos participants

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Carole Bouquet

Mère d'un des enfants

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Jean Michel Larqué

Père d'un autre

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Michel Sardou

Son fils est parti en " classe franco-américaine"

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Hervé de Charette

Et ce fut sa fille

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Alain Madelin

Son fils, ce qui permit de contacter, un dimanche soir, papa

à la suite d'une menace terroriste contre une de nos classes américaines

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Paul Amar

son fils partit sans " gants de boxe"     

La «  classe franco américaine » a été, dans les années 80/90 le programme scolaire le plus égalitaire dans les écoles primaires de France. Tous les enfants, quels que furent leur origine, leur race, leur niveau socio-économique ou familial avaient une chance de partir avec leur classe aux Etats-Unis.

C’est ainsi que la même année, des enfants d’écoles de quartiers défavorisés, souvent issus de l’émigration et parfois petits-enfants de harkis , partaient séjourner en Amérique au même titre et dans les mêmes conditions que les enfants de …. Vedettes du cinéma français, du sport, des médias, du monde politique, familles à la notoriété reconnue.

 

Quelques exemples le  montreront :

 

En 1985 partaient Gregory Larqué, fils du célèbre commentateur de foot sur TF1 et Hoang Ramanathan de Torcy ( 77)

Grégory était reçu par James  et accueilli à la «  Heritage school » à Medina, Ohio.

Hoang Ramanathan était reçu par Jeff et accueilli à la « Eatsview school » à Lake Geneva, Wisconsin.

 

En 1989 partaient  Omar Zeghoudi de Melun et David Sardou, fils du célèbre chanteur.

Omar Zeghoudi était reçu par Joseph et accueilli à la «  Center school » à McMechen, West Virginia

Davy était reçu par Chris et accueilli à la Monmouth school » à Monmouth Junction, New Jersey

 

En 1994, partaient Samir Kherrouba d’Epinal et Raphael, fils de Paul Amar, journaliste de télévision.

Samir était reçu par Zachary et accueilli à la « Tanner school » à Kaukauna, Wisconsin

Raphael était reçu par Jason et accueilli à la «  Wealthy school », à Grand Rapids, Michigan.

 

En 1994 partaient  Lofti Daoud de Paris et Adrien Flammarion, fils de l’éditeur

Lofti était reçu par Michael et accueilli à la «  Handley school » à Saginaw Michigan

Adrien était reçu par Nathan et accueilli à la « Evans school » à Fond du lac, Wisconsin.

 

En 1994 partaient  Camille, fille du ministre des Affaires Etrangères, Hervé de Charrette et Rachida Ait Hamou de Paris 19e.

Camille était reçue par Alicia et accueillie à la «  Evans school » à Fond du lac, Wisconsin

Rachida était reçue par Shaina et accueillie à la «  Handley school » à Saginaw, Michigan.

 

En1995 partaient Stefan-Brian, fils du Ministre de l’économie Alain Madelin et  Hadjina Nenyattou de Montmorency

Stefan-Brian était reçu par Jay et accueilli à la « Carl Sandburg school » à Wheaton, Illinois

Hadjina était reçue par Stephanie et accueillie à la «  Turkey Hill school » à Orange, Connecticut.

 

En 1996 partaient  Imad Makzaz de Limeil-Brevannes et Guillaume Fixot, petit-fils du président Giscard d’Estaing.

Imad  était reçu par Benfamin et accueilli à la « Jefferson Lighthouse school » à Racine, Wisconsin.

Guillaume était reçu par  David et accueilli à la « Lagunitas school » à San Geronimo, California.

 

En 1996 partaient Louis Giacobetti, fils de l’actrice Carole Bouquet et Tayed Derrouiche d’Epinal

Louis était reçu par Tyler et accueilli à la « Swift Creek school » à Middlothian, Virginia

Tayed était reçu par  Zachary et accueilli à la « Mc Kinley school » à Davenport, Iowa.

 

 

Et bien d’autres !

 

Tous ces enfants de 10 ans furent traités de la même façon et eurent la même expérience avec leur famille américaine et dans l’école américaine qui les accueillait. Aucune différence car à cet âge-là, ils sont tous ouverts à une nouvelle culture et enthousiasmés par de nouvelles découvertes. 

Pourtant, une fois aux Etats-Unis, que pensaient ces familles américaines hôtesses de ces enfants de ... ?

            Réponse ici

 


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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 14:39

 

Décoration aux portes: potiron ( pumpkin) éclairé d'une bougie le soir

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      Déguisements pour aller collecter les bonbons: " Trick or Treat"

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      Dans la rue, dans les jardins, des vampires, des fantômes à faire peur

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      On frappe aux portes en criant :" Trick or treat!" ( Un mauvais tour ou des bonbons)

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5 septembre 2010 7 05 /09 /septembre /2010 19:44

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 18:04

Plaques du souvenir

 

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suite des articles

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 17:56

Les grands de ce monde pasent devant les enfants:

Bill Clinton, président des Etats-Unis, Queen Elizabeth II et François Mitterand

 

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Les grands font un tour et puis s'en vont !

 

André Girod avait aussi été invité par l'Ambassadeur des Etats-Unis et il assista avec la classe aux différentes phases des cérémonies: arrivée des invités de second ordre, fanfares et défilés militaires.

Ces grandioses cérémonies et la présence des télévisions du monde lui inspirèrent le roman historique: "Ilkya" qui va du 6 juin 1944, plage de Vierville ( devenue Omaha Beach) avec des défenseurs allemands jusqu'au 6 juin 1994: cinquante ans d'histoire pour montrer l'évolution géopolitique du monde 

Lire extraits de " Ilkya" cliquer ici

 

Pour la suite des articles  cliquer ici

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 17:49

 

         

                                  Tribune où se trouvaient les enfants et leurs accompagnateursimg 384

 

Les officiels qui arrivent et passent devant la tribune

 

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suite: les grands de ce monde

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 17:43

img-382.jpgimg-383.jpg

 

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 17:28

 Le 6 juin 1994, pour le cinquantième anniversaire du Débarquement, une classe franco-américaine, Alençon/Elmhurst, Illinois avait été invitée par l'Ambassade américaine pour faire le lien entre les vétérans et la jeunesse de France et d'Amérique. Les enfants ont vécu une expérience inoubliable à Omaha Beach devant la tribune officielle où s'étaient installés les grands de ce monde. Avant la cérémonie officielle, les petits Français et Américains se sont dispersés dans les tribunes pour obtenir le plus possible d' autographes de personnalités et de vétérans. Une course qui les rendirent si fiers. Puis le soir ils furent invités à assister au feu d'artifice. Quelle journée pour nos gamins!

 

img 381

 

Gros titre de l'Orne Hebdo

 

img-380.jpg

 

suite

 



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